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La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd

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Journaliste de Vögar
Jón Vögar's Journalist


Jón Vögar's Journalist

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MessageSujet: La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  EmptySam 18 Nov 2017 - 23:48





Interview de Nikola S. Lokinjörd :


La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  22e0dd10



- Bonsoir Nikola. Nikola Lokinjörd… On ne vous présente plus. Vous avez hérité du talent de votre père sans vous reposer sur sa réputation, en traçant votre propre chemin.

- Merci, c’est très aimable.

- Acteur, réalisateur, chroniqueur, auteur, scénariste, vous adoptez donc un registre plus cynique, plus ironique, plus cinglant. Votre rhétorique est autant amusante qu’exaspérante, ce qui est vraiment compliqué pour se faire une idée de qui vous êtes !

- En réalité c’est un mélange d’un personnage que j’incarne, et de pensées personnelles qui s’entremêles. Mes chroniques tout comme mes livres ou mes films contiennent évidemment une partie de moi, mais ce n’est jamais autobiographique. Je crois que je n’ai pas encore atteint le stade de prétention nécessaire pour en arriver là.

- *rire* Je vois. Alors, nous allons jouer à un jeu, si vous êtes d’accord.

- Allons-y.

- Très bien, jingle Interview « Fin du monde » *musique dramatique* La fin du monde est dans vingt minutes, qui est-ce que vous appelez ?

- Euh… Personne, personne. Je reste avec moi. Je reste avec mes souvenirs, je reste avec mes admirations.

- Seul ?

- Oui. Vous savez j’ai beaucoup d’admiration pour Marcel Proust, ça fait très pompeux comme phrase, mais je comprends très bien l’idée qu’il exploite dans un de ses livres de quelqu’un qui, à l’automne de sa vie et se sachant condamné, décide d’écrire et de se confronter à lui-même. Moi s’il me restait vingt minutes je m’allongerais sur mon lit, je regarderais le plafond, et je regarderais ma vie. Je n’essayerais pas de me créer un souvenir, peut-être décevant. Je suis sûr que, par exemple, le dernier coït serait sûrement un peu raté.

- Ahah, très certainement. Votre plus grand regret ?

- Mh… Je n’essayerais pas de penser à des regrets. Je penserais plutôt à… des fantasmes inassouvis.

- Votre plus grande fierté ?

- Avoir pu remonter sur le cheval de la vie après en être tombé.

- Votre dernier « Je t’aime » ?

- Mh… Ce serait quelques minutes avant.

- A qui ?

- Eh je vous en pose des questions à vous ?

- *rire* D’accord très bien, c’est fini pour l’interview « Fin du monde ». Comment vivez-vous le rythme des chroniques que vous faîtes à la télé, en devant parfois démolir des personnes que vous adorez lorsque l’actualité l’impose ?

- Quand je suis en train de faire le malin, de la ramener sur la chaîne nationale, vous ne savez pas, derrière, le kilo d'angoisse qu'il y a. Je suis un arrogant qui cache beaucoup de flippe. Je ne dis pas ça pour me dédouaner. Mais ça reste quand même un plaisir de voir des visages se déconfire au rythme d’une chronique, notamment celle dont vous avez choisi la vidéo au début de votre article avec Madame Marý Lepenbjörg. Qui d’ailleurs, bien que je vomi sur ces idées d’extrême-droite, a su garder un grand calme et une autodérision pendant toute ma chronique.

- C’est vrai. D’ailleurs, en parlant de droite, vous avez sûrement pris connaissance de la loi passée en Islande sur l’IVG. L'avortement est autorisé en toute circonstance jusqu'à la douzième semaine de grossesse. Si deux médecins l'autorisent, il est autorisé à tout moment de la grossesse.

- Bien sûr, ça a fait un bruit immense. Et ça continue d’ailleurs. Notamment avec Frijid Barjö. Ce qui est amusant avec elle c’est qu’en observant son allure négligée, son physique pénible et ses expressions haineuses, je ne peux m’empêcher d’être ému par sa fidélité envers les prétendus principes d’un Dieu qui l’a si peu gâtée. Mais plus sérieusement, je pense qu’en 2017 il est grand temps que la religion cesse d’être imposée aux autres.

- Cela me permet de rebondir sur une chronique hilarante et criante de vérité que vous avez fait à ce sujet, dont voici le contenu :
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Nikola S. Lokinjörd


Nikola S. Lokinjörd

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MessageSujet: « Vous avez beau squatter l’actualité en essayant de nous foutre la trouille, religieux en tous genres, vous commencez très sérieusement à nous casser les couilles. » La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  EmptySam 18 Nov 2017 - 23:56

La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  Le-top10


« Bonsoir, bonsoir !

Chers téléspectateurs, si je m’adresse à vous ce soir ce n’est pas seulement dans le but d’en mettre plein la vue à Björk Gudmundsdottir qui comme disait l’autre « a peut-être un nom à coucher dehors, mais a des yeux à coucher dedans ». Non, non ce n’est pas pour cela. L’heure n’est plus aux ricanements.

Si je suis venu ce soir c’est pour défendre une cause, celle d’une communauté qui souffre dans une indifférence quasi générale des médias français, en effet à longueur de journées et à lourdeur de journaux on nous tapisse le bulbe avec les juifs, les catholiques, les musulmans, … Mais qu’en est-il de ces orphelins de Dieu qu’on appelle, non sans mépris, les « non-croyants » ? Qui pense à eux en ce moment ?

Moi-même, je l’avoue ce soir, je suis sans religion depuis de très, très longues années. Et je peux vous jurer sur la Torah des autres que ce n’est pas facile.

Mon calvaire a commencé à l’âge de 7 ans quand mes parents m’ont scolarisé dans une école d’origine balladurienne, truffés de premiers communiants, catéchisme le samedi, messe le dimanche. On pouvait déjà lire dans leurs petits yeux bleus les premières lueurs de la Manif Pour Tous. Vous voyez, dans la cours de récré j’essayais de me mêler à leurs conversations, mais leurs idoles s’appelaient « Jésus », « Noé », « Joseph », « Judas », ainsi que deux ravissants naturistes amateurs de pommes granny. Une sorte de Game of Thrones vintage, sans le nain, sans le nain ! Avec des épisodes chelous, comme celui où la mère du héros se fait pécho par Dieu ; sans les mains, sans les mains ! Ah ils adoraient ça, eux. Moi, je ne comprenais rien.

Dans les boums du collège, nourrissant l’infime espoir de pouvoir mélanger ma salive de profane à celle d’une brebis égarée, je faisais croire à toutes les filles que j’étais baptisé.

Quelques années plus tard, mes parents déménagent et je change d’établissement. Sauf que très vite je m’aperçus que dans cette secte-là, les hosties du dimanche avaient cédé leur place aux boulettes de viande Kasher. Dans ma classe 4 élèves sur 5 s’appelaient David et Déborah.

Ce qui ne m’a pas empêché de tomber amoureux, très amoureux… Aaah Déborah Fishmann. Elève de 5ème D, elle était belle à en crever. Sauf que pour cette merveille je n’étais qu’un plouc jusqu’à la peau du gland. Je me revois la nuit, tentant de me circoncire moi-même avec un couteau-suisse… 4 mois de tétanos j’ai chopé ! Et pour me remercier, pas une seule Barmitsva, pas une seule caresse de Déborah ! Il paraît qu’aujourd’hui elle vit à Tel Aviv avec un type vulgaire et sans aucun humour. A défaut de bouffer du porc, elle en a épousé un. Parfait.

Des années plus tard je me suis cassé les dents sur la belle Fatima. Fatima, une beurette incandescente, une paire de seins plus vénérables que tous les saints de l’Eglise. Voiler le corps de Fatima c’est aussi vache que de poser une bâche sur un tableau de Rembrandt ! Et c’est moi le mécréant ?

Mais qu’est-ce que c’est que ces conneries ? On m’avait dit que l’Islande était le pays du « Je pense donc je suis », et je me retourne dans le pays du « Je crois donc j’existe ». Non. Résultat, vers 20 ans, je suis devenu ce qu’on appelle un athée intégriste. J’ai dit stop à vos folies. Je ne crois pas à vos délires et j’ai le droit de le dire. Je suis impie ? Tant pis ! Tout cela pour moi n’existe pas. Les animaux sur un bateau, 72 vierges au Paradis, la nocivité d’une tranche de jambon, les crèches en plastiques qu’on devrait trouver jolies alors qu’elles foutent en l’air la déco du salon, les compliments de Saint-Pierre si tu tends la joue gauche… Et pourquoi pas mon fion ? Oh j’adorerais y croire, j’adorerais y croire à cette astrologie de luxe, mais j’ai arrêté le crack en 1996.
Du coup chez moi c’est terminé. Voilà belle lurette que vos grigris mystiques sont priés de poireauter sur mon pallier. Tant je leur dois mes pires soirées ; celles où les sourds discutent entre eux jusqu’au whisky de la discorde.

Je travaille moi-même comme une vache –sacrée ! - je n’ai pas le temps pour vos conneries. Les barbiches musulmanes et leur testiculo-centrisme à peine voilé, les cathos et leur passion perverse pour l’ectoplasme embryonnaire, les hindouistes désincarnés par l’espoir d’être un jour réincarnés en moule farcie, vous laissez ça dans le taxi.

Chez moi tous les prépuces font mine de se ressembler. Et si on s’entretue c’est au sujet du dernier film de Quentin Tarantino, de l’emploi des adjectifs dans l’œuvre de Rousseau, de la cuisson de l’épaule d’agneau, du prix de l’Heineken chez Carrefour City, ou de l’authenticité des lèvres d’Angelina Jolie. Pour le reste, désolé, faut sonner chez le voisin.

Ce qui ne m’empêche pas la nuit… une fois que tout le monde est rentré dans sa patrie imaginaire, d’allumer une bougie. Moi-même je parle à Dieu, mais c’est mon Dieu à moi. Il a la tête que je veux. Celle de la chance, et du travail, et du sourire. De ma copine. Je le remercie parfois, pour une bonne formule qu’il vient de jeter gratuitement dans mon encrier. Merci, merci, merci. Je le remercie pour cette radio des poumons qui, en dépit de mes 30 clopes journalières, semble satisfaire mon médecin généraliste. Merci, merci. Je le remercie chaque jour pour l’intelligence de mon meilleur ami. Bref ! J’ai un Dieu dans mon cerveau mais je ne l’impose à personne et je n’en parle jamais. Y’en a marre de vos histoires. Vous vous flinguez pour rien. A cause de vieux bouquins torchés à la plume d’oie par une bande de mythomanes. Voilà pourquoi ce soir, du fond de mon athéisme, je tenais à vous le dire : Vous avez beau squatter l’actualité en essayant de nous foutre la trouille, religieux en tous genres, vous commencez très sérieusement à nous casser les couilles.

Merci, au revoir. »
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Jón Vögar's Journalist


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MessageSujet: Re: La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  EmptyDim 19 Nov 2017 - 0:02

La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  17042710



- Clair, net, et précis. Bravo à vous ! Revenons maintenant à vous, à votre vie personnelle si vous le permettez.

- Allez-y. Si vous dépassez les limites de l’intimité je vous le ferai savoir.

- Vous parliez tout à l’heure d’être remonté sur le cheval de la vie après en être tombé. Etes-vous une personne triste, dans le fond ?

- Des fois je fais des émissions, des fois des dépressions *rire* Non plus sérieusement j’ai eu une époque de ma vie très sombre, vers mes 20 ans, avec notamment une tentative de suicide. Mais aujourd’hui je vais mieux, d’où ma fierté d’être remonté à cheval.

- Et on parle souvent de vous en tant de « coureur de jupons », qu’en pensez-vous de cette réputation ?

- *sourire* Vous savez… J’ai été élevé parmi des femmes, une mère et trois sœurs. Et j’ai passé mon adolescence à douter, sûrement à tort, des sentiments de ma mère à l'égard de mon père. Je me suis persuadé que cette femme que j'aimais plus que tout négligeait gravement l'homme que j'admirais plus que tout. Que ce soit vrai ou faux, ça a foutu le bordel. Et ça explique en partie mon besoin très précoce et très pathologique d'être aimé des femmes, de plaire, d'accumuler des preuves de leur amour, de leur estime.

- Votre père qui vous a baigné très tôt dans la littérature, car vous avez signé à 12 ans votre premier scénario :
L’histoire d’un incompris miné par la vulgarité du monde… C’est précoce !  Comment expliquez-vous ce besoin d’écrire, aussi jeune ? Et le sujet !


- Dès l’enfance, il m’a fallu m’exprimer, attirer l’attention de mes proches, de ma famille, de mes petites copines de classe. Sans doute afin de compenser de piètres résultats scolaires. Ce fut d’abord le dessin, puis le piano, et enfin l’écriture. Je n’ai pas cessé depuis. Mon premier scénario, que j’ai relu quelques années plus tard, était épouvantable. Ce n’était qu’un lourd prétexte pour raconter à mes proches à quel point je me sentais différent des gamins de ma génération. Mais je ne maîtrisais aucune technique narrative, et mes dialogues étaient très démonstratifs. Une posture adolescente. Certains fument des joints ou exhibent leurs baskets à la mode, moi je me baladais avec Madame Bovary sous le bras et mes premiers manuscrits.

- C’est remarquable. Passons maintenant à votre nouveau livre, « La tête ailleurs ». Pouvez-vous le résumer en quelques mots ?

- Très simplement c’est l’histoire d’un « Je t’aime » puis d’un « Je te quitte ». Le début et la fin d’un amour impossible. Une prise en otage par une blonde irrésolue. Dans ce livre j’use beaucoup moins de l’ironie. C’est un livre quasiment dépourvu de mensonges. Evidemment, je n’abandonne pas le recul humoristique (notamment sur l’actualité politique), et je continue à me moquer de moi-même et des autres, mais le changement reste assez radical par rapport à mes deux premiers livres qui eux, étaient clairement plus sanglants et critiques.

- Je vous remercie Nikola Lokinjörd pour votre temps et l’honneur que vous nous faites d’être le premier invité de la saga d’interview.

- Merci à vous !

- Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter, chers téléspectateurs, une bonne soirée. Et on se donne rendez-vous dans quelques jours pour interviewer Keira Falls, une vidéaste d’origine anglaise, bloggeuse et actrice pleine d’énergie.

- Que…

- Oui ?

- Non, ce n’est rien. Bonne soirée à vous !


La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  4756f110
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Maddý



MessageSujet: Re: La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  EmptyDim 19 Nov 2017 - 19:23

Bonjour Nikola,

Je suis votre travail depuis plusieurs années déjà, j'aime beaucoup tout ce que vous faites !
Vous livrez dans cette interview beaucoup d'informations personnelles, ce que vous n'avez pas l'habitude de faire. À quand une autobiographie sur votre vie personnelle ?

Cordialement,
Maddý
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Nikola S. Lokinjörd


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MessageSujet: Re: La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd La demi-heure Interview ▬ Nikola Styrr Lokinjörd  EmptyDim 19 Nov 2017 - 21:03

Bonsoir Maddý,

Tout d'abord merci beaucoup pour votre retour, je suis touché que mon travail vous plaise.

Il est vrai que je me confie beaucoup ici, ce que en effet je n'ai pas l'habitude de faire. Mais sûrement que quelques éléments sont bons à savoir afin de mieux cerner un personnage qui mélange expérience personnelle et arrogance amplifiée, voire exacerbée, dans ses chroniques ou ses livres. Car je vois bien à ma côte de popularité que beaucoup de personnes me trouvent antipathique ahah ! Mais, plus sérieusement, j'ai surtout fait cela car, étant lecteur moi-même, j'aime beaucoup connaître la vie d'auteurs et réalisateurs que j'apprécie, et de lire leurs autobiographies. Cela permet de connaître la personne en profondeur, et ainsi mieux comprendre leurs précédents écrits.

En revanche, pour ma part, ce que j'ai dit dans l'interview concernant l'autobiographie, je ne compte pas en faire. Du moins à ce jour, car comme on dit il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis. Mais "non" d'une part parce que je suis bien trop protecteur sur ma vie privée, et pudique sur mes sentiments personnels pour les livrer publiquement comme cela, d'autre part parce qu'à 28 ans je trouve cela bien trop tôt pour en écrire une (même si certains chanteurs canadiens dont je ne citerai pas le nom ne s'en privent pas, à peine sortis de la pré-adolescence), et ensuite car les magazines people se chargent à ma place de donner des éléments sur ma vie privée et les personnes que je fréquente !

Et il est de mon métier de garder une part de doute sur qui je suis réellement, sinon je ne pourrai plus me moquer en toute liberté de tous les politiques, acteurs-trices, réalisateurs-trices, écrivain.e.s qui viennent sur le plateau, écouter à contre-cœur mes chroniques, si tout le monde sait derrière mes mots que je les apprécie énormément. Si on en sait trop sur un chroniqueur, son arrogance et sa rhétorique sont mises en danger, vous comprenez ?

Bien à vous, et encore merci pour votre retour.

Nikola S. Lokinjörd
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